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"Réalisé à Roubaix avec des acteurs non professionnels, ""Cités de la plaine"" témoigne, dans son exploration du réel, d'une recherche stylistique sans cesse réinventée. Kramer a choisi principalement le support de la vidéo numérique, qui ""rend le monde à la fois plus rugueux, plus ordinaire"" tout en recherchant une façon d'insuffler la vie à son film et à ses personnages. Les images sont marquées par une forme de violence comme si elles avaient été ""arrachées à la solidité du monde avec difficulté, déterrées ou volées"". [rezolibre.com] Ce film posthume et inachevé est surtout empreint d'atmosphères qui suggèrent des états d'âme autour du sentiment d'être étranger, de la mémoire du passé."
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La route n°1 est la plus ancienne des États-Unis. Septante-sept millions de personnes, soit un tiers de la population américaine, vivent aux alentours de ce parcours de 5.000 kilomètres qui longe la côte atlantique, de la frontière canadienne à Key West, en Floride.Après dix ans d'exil volontaire, mis à profit pour faire des films en Europe, Robert Kramer revient aux États-Unis, pays dont il fut naguère une figure de la contre-culture et plus encore du cinéma indépendant. Pendant cinq mois, en 1987 et 1988, caméra à l'épaule, il entreprend un étonnant retour aux sources, descendant cette route numéro 1, là où se condensent toutes les strates de l'Histoire américaine."La route numéro 1 relie le Canada à Key West, en Floride. En 1936, c'était la route la plus utilisée dans le monde. En 1989, elle court le long d'immenses autoroutes, et traverse les banlieues, fine bande de macadam qui traverse les vieux rêves du pays. Quand j'ai filmé pendant cinq mois le long de cette route, je n'ai pas eu l'impression de traverser le passé mais plutôt de révéler le présent. À l'ombre des échangeurs, les centres-villes de verre et d'acier se découpaient à l'horizon, comme des décors de cinéma." Robert KramerRobert Kramer filme l'Amérique de manière très peu égalée, auscultant un territoire toujours au bord de l'implosion, où déclassés et laissés-pour-compte de la civilisation technologique laissent entrevoir l'avènement d'un monde où se juxtaposent désormais centres de décisions planétaires et vastes zones d'abandon.
Géographie --- Image de la ville --- Géographie humaine --- Paysage urbain --- Image de l'architecture --- Paysage rural --- Quart monde --- Histoire sociale --- Autoroute --- États-Unis
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"WALK THE WALK (1995) : Nellie est chercheuse en microbiologie, elle travaille entre un laboratoire et les terres de la Camargue. Abel est coureur et entraîneur. elle est blanche, lui est noir. Leur fille, Raye, vient d'avoir 20 ans, elle chante. A eux trois ils forment à peine une famille, plutôt une sorte de rencontre arrivée a son terme. sans heurts, ils se séparent : Raye s'en va la première, vers l'Allemagne, à pied. Abel part vers la Russie, en bateau. Ils veulent voir, vivre, sentir le monde comme il va ou ne va pas, dans le détail des corps et au fil des paysages, au risque des mauvaises rencontres et de la mort. DOC'S KINGDOM (1987) : James Matter vit seul sur un quai à l'écart de Lisbonne, là ou le Tage ouvre sur l'océan. Pour tout le monde, il est ""Doc"". Il travaille dans un hôpital de la ville et, le soir, rumine de vieilles histoires : son activisme politique aux Etats-Unis, son engagement comme médecin dans un pays d'Afrique en guerre, dont il est revenu malade et alcoolique. Doc a laissé aux Etats-Unis une femme, Rozzie, et un fils qu'il n'a jamais connu, Jimmy. Mais à la mort de Rozzie, Jimmy traverse l'Atlantique pour régler les comptes avec ce père fantôme, ; et finit par partager une nuit de sa dérive. "
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Anhand einer Strukturgleichungsanalyse zeigt der Autor auf, wie vergleichende Werbung durch die Rezipienten verarbeitet wird und in welchen Fällen Vorteile durch den Einsatz zu erwarten sind. Dabei untersucht er die Wirkung auf die Konsumenten in drei verschiedenen Produktkategorien und für Werbevergleiche unterschiedlicher Intensität. Hierbei werden Konsumgüter nach den Merkmalen Nutzungsdauer (Ver- und Gebrauchsgüter) sowie Art des Produktnutzens (hedonistisch bzw. funktional) betrachtet. Der Inhalt • Positionierung neuer Marken in Konsumgütermärkten • Forschungsstand zur vergleichenden Werbung • Analyse der Werbewirkung vergleichender Werbung in drei Produktkategorien • Vergleichsintensität vergleichender Werbung Die Zielgruppen • Dozierende und Studierende aus den Bereichen Marketing und Marktforschung • Praktiker aus Werbeagenturen, Konsumgüterindustrie, Handel und Dienstleistungsgewerbe Der Autor Nach seiner Tätigkeit als wissenschaftlicher Mitarbeiter am Institut für Marketing an der Helmut-Schmidt-Universität in Hamburg leitete Robert Kramer mehrere Projekte im Bereich der empirischen Sozialforschung. Derzeit ist er in der betrieblichen Marktforschung eines großen Pharmaunternehmens tätig.
Marketing. --- Marketing.
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Client-centered psychotherapy --- Psychoanalysis --- Person-Centered Psychotherapy --- Psychoanalysis --- History --- History --- history --- history --- Rank, Otto --- Rogers, Carl R.
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(069) --- 77.092.07 --- August Sander 1876-1964 (°Herdorf, Dl.) --- Fotografen ; August Sander --- Straight photography --- 761.2 --- 766.6 --- Sander, August --- fotografie --- landschapsfotografie --- portretfotografie --- reportagefotografie --- (Musea. Collecties) --- Fotografen A - Z --- fotografen, afzonderlijk --- persfotografie en fotoreportage --- Photographers --- Photography, Artistic --- Portrait photography --- Biography --- Exhibitions --- Sander, August. --- Zander, Avgust --- Exhibitions. --- Sander, August,
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"Ce coffret réunit deux films indissociables, qui participent d'une même expérience cinématographique: une fiction de Thomas Harlan - ""Wundkanal - Exécution à quatre voix"" - et un documentaire de Robert Kramer - ""Notre nazi"" -, tous deux réalisés en 1984. - ""Wundkanal - Exécution à quatre voix"" (Thomas Harlan - 1984 - 107'): Un vieil homme est kidnappé et interrogé par ses ravisseurs. On découvre alors sa vie d'assassin: cet homme de bientôt 80 ans a été dirigeant de la SS, responsable de la mort de milliers de personnes et l'""inventeur"" d'une technique d'élimination de prisonniers politiques: le suicide manipulé... - ""Notre nazi"" (Robert Kramer - 1984 - 94'): Filmé sur le plateau de tournage de ""Wundkanal"" (à Paris), cet essai documentaire n'est pas un ""making of"". Au-delà de l'émotion cinématographique qui se dégage du plateau, le film de Robert Kramer rend compte d'une expérience à laquelle Thomas Harlan soumet et son comédien (qui ne s'exprime qu'en allemand) et la majeure partie de l'équipe du tournage, qui ne parle pas l'allemand et donc n'a aucune prise sur ce qui se dit. Fils de Veit Harlan, cinéaste nazi apprécié de Goebbels, Thomas Harlan souhaitait engager non pas un comédien mais un véritable criminel de guerre pour interpréter le rôle principal de son film. Scrutant les moindres gestes de l'""acteur"", au plus près de la peau, la caméra de Robert Kramer ne se détache de l'homme que pour mieux rendre compte du malaise qui règne sur le plateau de tournage. Thomas Harlan, né le 19 février 1929 à Berlin et mort le 16 octobre 2010 (à 81 ans) à Schönau am Königssee, en Bavière, est un réalisateur, dramaturge et écrivain allemand. Fils du cinéaste officiel du régime nazi Veit Harlan et de l'actrice Hilde Körber, Thomas Harlan découvre en 1945 que""les films de son père ont été des instruments de l'extermination des Juifs""1. Cet événement va déterminer l'essentiel de son travail de réalisateur et de romancier soucieux de dénoncer les criminels de guerre. Après des études de philosophie et de mathématiques, à Tubingen en 1947 et à Paris en 1948, il travaille notamment pour la radio française. En 1959, à Berlin, à l'occasion d'une représentation de sa pièce Moi-même et non un ange. Chronique du ghetto de Varsovie, il met en cause plusieurs personnalités de la République fédérale allemande qu'il accuse de collaboration avec le pouvoir nazi. Indésirable dans son pays, il séjourne au Portugal où il réalise en 1975 un premier long métrage. Revenu en Allemagne en 1978, il tourne son deuxième film, Wundkanal, sorti de façon quasi-confidentielle en 1985. Malade, contraint de rester dans un sanatorium, il consacre les dix dernières années de sa vie à l'écriture. Robert Kramer (22 juin 1939 à New York, États-Unis - 10 novembre 1999 à Rouen, France) est un réalisateur, acteur et scénariste américain. Robert Kramer a étudié la philosophie et l'histoire de l'Europe de l'Ouest au Swarthmore College à Swarthmore près de Philadelphie et à l'Université Stanford à Palo Alto. Dans les années 1960, il appartenait à des groupes de gauche radicale. En 1967, il est cofondateur du collectif Newsreel qui permettra, jusqu'à aujourd'hui, la réalisation et la diffusion de nombreux films engagés, suivant de près les mouvements sociaux et les luttes des minorités. En 1969, Kramer tourna avec Norman Fruchter et John Douglas le documentaire People's War au Vietnam du Nord. Depuis le début des années 1980 et jusqu'à sa mort, Kramer vécut en Europe. "
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